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et les voyageurs a été signé en
février 2011. RFF a, depuis, lancé le
dialogue compétitif avec chacun des trois
groupements candidats, pilotés par
Bouygues TP, EiƷage et Vinci Concessions.
Maîtrise des coûts,
une exigence absolue
Le contexte est marqué par la forte
demande de production pour
entretenir et renouveler le réseau
et par la croissance structurelle
des coûts de maintenance pour RFF.
RFF s’est donc engagé, avec la SNCF,
à déƟnir en 2010 les termes d’un nouveau
partenariat industriel et contractuel.
Cohérent avec la stratégie des
protagonistes, ce partenariat doit
améliorer signiƟcativement la
performance industrielle, opérationnelle
et économique des activités d’entretien
et d’investissement. Adopté par les
deux conseils d’administration enmars
2011, ce nouveau partenariat a fait
l’objet d’un protocole signé par les
En février 2010, le premier contrat
ferroviaire en PPP a été signé entre RFF et
Synérail, groupement constitué par Vinci,
SFR, Axa Private Equity et TDF, pour la
construction et l’exploitation pendant
quinze ans d’un réseau de télécom-
munication ferroviaire numérique
GSM-Rail sur 4 000 kilomètres de voies.
En octobre, le dispositif de concession
présenté par le groupement Lisea
a été adopté pour la construction
de 340 kilomètres de la LGV SEA,
qui permettra, au plus tôt en 2016,
de rallier Bordeaux depuis Paris en 2 h 05.
Le groupement réunit Vinci Concessions,
la Caisse des dépôts et Axa Private Equity.
Sur ce projet, première LGV à bénéƟcier
d’un PPP, les subventions publiques seront
inférieures à 50%de l’investissement total,
contre 75 % dans une LGV classique.
En janvier 2011, RFF a retenu l’oƷre
d’EiƷage pour réaliser en contrat de
partenariat la LGV Bretagne-Pays de
la Loire. Le protocole d’étape entre les
partenaires Ɵnanceurs de la future ligne
à grande vitesse du contournement
de Nîmes et de Montpellier pour le fret
présidents de RFF et de la SNCF.
Dans un objectif de maîtrise du coût total
de possession de l’infrastructure,
le nouveaumodèle industriel retient
un pilotage par axe. L’axe ou la ligne
devient ainsi l’unité principale pour
une gestion industrielle de l’infrastructure
qui prenne en compte son état et adapte
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GSM-Rail : un réseaude télécommunication
ferroviairenumérique sur 4000 kilomètres de voies,
réalisé enquinze ans.
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