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L’essentiel
2012 / 2013
Total
5 exemples
d’engagement
Partout où nous sommes présents, nous évaluons les impacts de nos activités
et nous mettons en œuvre des démarches innovantes pour les maîtriser,
lorsqu’ils sont négatifs, ou les développer, lorsqu’ils sont positifs. Voici quelques
exemples de notre contribution à la sensibilisation des enfants aux dangers de
la route, à la création d’emplois ou encore à la préservation des ressources...
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SafetyCube : la sécurité routière pour les enfants
Les enfants sont les plus exposés
aux risques routiers. En Afrique et au
Moyen-Orient, Total a développé des
supports de sensibilisation à la sécurité
routière des enfants dans l’ensemble
de ses filiales. Un support original, le
Safety Cube, a été distribué aux filiales
pour permettre aux enfants des écoles
avoisinantes d’apprendre les règles de
la sécurité routière tout en s’amusant.
Ils acquièrent ainsi une culture et des
réflexes de sécurité grâce à un cube
rouge estampillé Total !
Afrique et Moyen-Orient
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Total a souhaité capitaliser sur les grands
chantiers de la plateforme Normandie
pour en faire des leviers d’insertion
professionnelle. Les entreprises presta-
taires de Total sont en effet régulièrement
confrontées à une pénurie de main-
d’œuvre. Avec la démarche Total Emploi
Local, le Groupe offre aux entreprises
des solutions de recrutement en accom-
pagnant et en formant des demandeurs
d’emploi de la région. Grâce à la pré-
sence d’une antenne Total Emploi Local
sur le site, les entreprises prestataires
de Total peuvent accéder à un vivier de
compétences. Adossée aux différents
acteurs socioéconomiques, publics et
privés, de la formation et de l’insertion,
la démarche a permis la création de
1138 emplois, dont 582 CDI.
Total Emploi local :
la proximité comme levier d’insertion
France
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Aujourd’hui, près de 30% des émis-
sions mondiales de gaz à effet de serre
(GES) sont dues au pétrole et au gaz. Un
axe majeur pour diminuer nos propres
émissions de GES est la réduction du
brûlage des gaz associés à nos pro-
ductions de pétrole, gaz qui est en outre
une ressource énergétique précieuse :
notre objectif est de réduire le brûlage
de 50% en 2014 par rapport à 2005.
Notre plus gros enjeu se situe en Afrique
de l’Ouest, par manque de réseaux de
commercialisation du gaz ; et c’est
aussi sur cette région que le Groupe a
porté l’essentiel de ses efforts, avec, par
exemple, une baisse de 18%entre 2010
et 2012 des volumes de gaz brûlés.
Brûlage en baisse
Afrique de l’Ouest
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Le programme Total Access to Energy
développe des solutions énergétiques
pour les plus démunis, dont une gamme
de produits solaires innovants, efficaces
et économiques. Cette gamme a déjà
été lancée en Indonésie, au Cameroun
Kenya, Congo, Burkina Faso, Sénégal,
ainsi qu’en Haïti et au Cambodge. Sa
commercialisation s’appuie sur une
démarche de « social business » inno-
vante. Il s’agit en effet pour Total de
développer l’entrepreneuriat et l’emploi
local, en s’appuyant sur son réseau de
stations-service,mais aussi sur de jeunes
revendeurs. Pour recruter et former ces
derniers, Total s’associe à des entrepre-
neurs locaux, des coopératives, ou des
ONG. En Indonésie, par exemple, Total
s’est uni à une quinzaine de partenaires
pour développer un réseau de vente
adapté aux enjeux commerciaux de ce
pays dans lequel le Groupe n’a pas de
stations-service.
Accéder à l’énergie, développer l’entrepreneuriat
Indonésie
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Total s’engage en faveur du dévelop-
pement économique local de la région
d’Egi, au cœur du delta du Niger, où
il est implanté depuis 1964. En parte-
nariat avec les communautés locales,
nous avons créé le Small & Medium
Enterprises-Development Network
(SME-DN), un centre de formation pour
stimuler et soutenir l’entrepreneuriat.
En 2011, Total a sollicité l’assistance
technique de l’Institut européen de coo-
pération et de développement (IECD) .
Elle donne aux entrepreneurs des outils
de gestion qui leur permettront de ren-
forcer leur activité et, ainsi, d’améliorer
leurs conditions de vie. Trois promotions
ont déjà été accueillies, soit 77 entrepre-
neurs. Les résultats sont concluants :
sixmois après la formation, ils ont sensi-
blement augmenté leur chiffre d’affaires
(+ 25 % en moyenne) et une culture
d’entreprise structurée se diffuse : ils
tiennent un journal de caisse, rationa-
lisent leur gestion et formalisent leur
organisation.
Aider les petites etmicro entreprises
Nigeria
5mn
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